Wivinne MARION

Nous sommes de tout cœur avec vous ....courage

Jean-Claude,
Je ne trouve les mots devant ce deuil plus que cruel et injuste.
Je te souhaite beaucoup de courage ainsi qu'à tes proches
Bernadette

Je vous présent toute mes condoléances, de tout cœur avec vous tous

Je vous présent toute mes condoléances, de tout cœur avec vous tous

Je vous présente mes sincères condoléances à toutes la familles votre femme,fille était une
personne extraordinaire, je l'ai connue au centre néonatale pour mon fils ainsi que par la suite pour les consultation, elle était toujours très souriante, à l écoute et avait beaucoup de patience. Nous sommes de tout coeur avec vous dans cette terrible épreuve .

On ne vous connait pas directement et pourtant, on y pense tous les jours depuis jeudi. On aimerait vous envoyer un peu de notre force pour vivre les jours difficiles que vous êtes en train de traverser. Ce qui s'est passé est incompréhensible. Nous pensons à vous très fort.

Comment ne pas être vivement affecté par cette disparition tellement injuste, à un moment où la vie aurait pu encore apporter pas mal de choses positives.
Je mesure pleinement la peine de toute la famille.
Tout en étant confus de ne pouvoir apporter un réconfort valable, mes ferventes pensées vont à mon confrère et à toute sa famille.

Mes sincères amitiés .

Tout en sachant que les mots ne peuvent pas grand-chose en ces pénibles circonstances, nous voudrions vous dire, combien nous prenons part à votre douleur. Avec nos respectueux hommages, nous vous présentions nos bien vives et sincères condoléances.

Il aura fallu cette innommable tragédie pour que reviennent tant d'images d'adolescence à l'école de cadres, ou aux facs. Ce côté sévère et silencieux qui se rompais sitôt une confiance établie. Cet humour, parfois acide mais si subtilement placé que j'en ai rit aux larmes à maintes reprises. Et puis tes prises de positions bien tranchées déjà pour une fille de 16 ans. Tu interpellais, tu choquais parfois aussi mais jamais gratuitement, pour rien. Une façon de faire déroutante mais riche pour celle ou celui qui savait le percevoir.

Et puis le temps passe, une fois la troisième candi terminée, chacun à pris son chemin. On se recroisait au hasard des rencontres pour se dire juste comment vas-tu?, qu'est-ce-que tu deviens? La dernière fois j'entends encore tes félicitations au détour d'un couloir du CHR à la naissance de mon fils Clément.
Au revoir Wivinne, mes pensées et mes condoléances accompagnent ta famille, ton mari, tes enfants et ta maman qui s'est si bien préoccupée de ma fille Louise. Frédéric