Michel FOULON

Je voulais présenter nos condoléances, c'est-à-dire de Patrice mon époux qui t'a d'abord connu étudiant, de ma mère Andrée ta cousine veuve depuis janvier, puis les miennes mais je viens de me dire que nous sommes de la famille aussi.
Je ne vais pas donc pas nous en présenter, mais me souvenir des moments d'abord de notre jeunesse puis lorsque nous nous sommes retrouvés chez notre regrettée "Cul-Sec". Nous nous sommes reperdus, ainsi va la vie. Ta gentillesse, ton originalité, ton humour parfois particulier resterons gravés dans ma mémoire, Michel. Chaque rencontre fut un plaisir.
Papa avait laissé des consignes pour son enterrement où il ne voulait personne, toi je ne sais pas. Mais vous êtes partis aussi vite et discrètement, volontairement ou pas, trop tôt.
Quoiqu'il en soit, tu n'es plus là. Alors adieu, Michel.