Francine LERUTH

Toutes mes condoléances à la famille... je pense bien à vous en ces moments difficiles...
Voisine, je suis là si tu as besoin...
courage demain... ce ne sera pas une journée facile mais pensez que ce n'est qu'un au revoir... on se reverra tous là haut.

A toi Hubert ainsi qu'à tes proches, je vous souhaite beaucoup de courage en ces jours difficiles.

Pascal Dujardin

Toute ma sympathie à Francis et sa famille.

Bon courage à toute la famille pour surmonter la douleur de la séparation. Soutenez-vous les uns les autres et gardez en mémoire tous les jolis moments et les belles émotions que vous avez partagés avec Francine. Elle est délivrée de son mal, votre mal à vous tous qui restez s'apaisera peu à peu... Toute ma sympathie.

Sincères condoléances à toute la famille et beaucoup d'amour et de courage

Toute mes sincères condoléances a toi Hubert et bien sur a toute ta famille.

Sincères condoléances à toute la famille et surtout beaucoup de courage.
Que cette courageuse Dame reposes en paix.?

Bonjour.
Permettez-moi de présenter mes sincères condoléances à toute votre Famille.
Courage et force si possible dans ces moments de peine, de souffrance et de séparation.
Avec ma sympathie et mon amitié.
José Brouwers

Bonjour.
Permettez-moi de présenter mes sincères condoléances à toute votre Famille.
Courage et force si possible dans ces moments de peine, de souffrance et de séparation.
Avec ma sympathie et mon amitié.
José Brouwers

Perdre ma sœur est un moment difficile à surmonter !
Elle savait à quel point elle comptait pour moi et ce sentiment était réciproque.
Elle est partie avant moi et je dois maintenant surmonter ma peine, réussir à vivre en sachant qu’elle ne pourra plus jamais être à mes côtés.
Je pense très fort à toi Meymeye !
Il nous restait tant de discussions à avoir… De bons moments à partager…
J’aurais voulu que tu résistes à cette maladie de bête.
Que tu survives à ce mal.
Alors, je t’écris ces quelques mots pour que où que tu sois, tu saches que tu comptes beaucoup pour moi.
Je sais que tu ne les liras pas, c’est un peu égoïste, je crois.
Je n’ai trouvé que ce moyen pour te dire : « Tu vas sacrement nous manquer… Meymeye ».
Voici un joli poème de Benoît Marchon
Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe.
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte