Marie DEMAL

Papa, je t'aime et je ne t'oublierai jamais, tu fus un papa attentionné et tu avais pour moi toutesles qualités. Je me sens comme un oisillon tombé du nid avec les ailes coupées depuis ton départ. Je te pleure souvent. Ce qui m'attriste aussi c'est que je ne sais voir maman qu'une fois tous les 15 jours.Mon papounet, j'ai du mal à vivre sans toi. Je serai heureuse le jour où je te rejoindrai, je t'embrasse de toutes mes forces, j'admire la dignité de maman, elle ne se plaint jamais.

Cher Guy et Chantal,

Ne pouvant nous déplacer, nous vous présentons nos très sincéres condoléances et vous souhaitons beaucoup de courage pour surmonter cette nouvelle épreuve.

Fifie et Sylvie