Claude RAPPE

Qu'il est difficile de parler de toi à l'imparfait alors que tu as une telle présence. A ta chère famille, ce ne sont pas des condoléances que je veux présenter, car une telle douleur ne peut se partager.Je ne ferai pas non plus l'éloge de tes qualités professionnelles, pourtant si grandes et appréciées par tous ceux avec qui et pour qui tu as travaillé. Quand tu es venu chez nous, tu as tout de suite fait partie de la famille, notre famille Energie.Et ta petite famille à toi y est aussi entrée, tant tu en parlais avec amour et émerveillement.Claude, c'est l'homme de coeur que je veux saluer en toi, mari aimant, papa affectueux et attentif, bon et joyeux compagnon de tes collègues.   J'ai eu le plaisir, le bonheur, d'écrire un ou deux petits textes pour toi, que tu avais la gentillesse d'apprécier. Permets-moi de te dédicacer ce dernier petit bout:  

Le soleil s'en va au couchant

Mais il nous laisse sa lumière

Même loin dans son firmament

Et tu es comme lui, mon frère.

 

Je suis triste, et je ne comprends pas

 

Avec toute mon affection

 

Serge